À la veille du premier match amical des Éperviers du Togo face au Mena du Niger lors de cette trêve internationale, Kevin Denkey, se livre sur ses nouvelles responsabilités en sélection du Togo.
« On est beaucoup concentré malgré qu’on sait qu’on n’est pas à domicile, qu’on n’aura pas forcément beaucoup de supporters avec nous pendant ces deux matchs. Mais c’est des matchs importants pour nous. C’est des matchs amicaux, mais c’est ça qui nous permet de nous préparer pour les grandes échéances qui sont à venir. Donc on sait l’importance de ces matchs », a commencé Kevin Denkey. Il est ensuite revenu sur les deux adversaires du Togo dans le cadre de ces journées FIFA.
« Le Niger et la Libye sont des adversaires idéales pour nous, pour bien nous concentrer et travailler. L’ambiance elle est bonne, les entraînements se passent bien. On est dans la continuité de ce qu’on faisait depuis un moment. Et on a un groupe solidaire », poursuit-il.
« Il y a des nouveaux joueurs, on essaie de les adapter au mieux et à leur faciliter aussi la tâche, qu’ils puissent comprendre la façon dont on joue ici au Togo. Ils sont passionnés, ils sont motivés donc ça se passe bien », a répondu l’attaquant de 22 ans à la question de savoir, comment se passe l’intégration des nouveaux Éperviers. Nouvelle tête d’affiche des Éperviers du Togo, Kevin Denkey est bien conscient des attentes.
« Déjà moi-même. Je suis quelqu’un qui me mets beaucoup de pression. C’est vrai que je fais une bonne saison ; ça se passe bien en club même les derniers matchs en sélection aussi ça se passe bien, donc je suis dans une bonne forme de ma carrière. J’aide mon équipe en club, pourquoi ne pas aider aussi mon pays. Ce qui est très important aussi pour moi est le football de mon pays. Je veux jouer plein de choses avec mon pays. Tout ça ne me met pas forcément de pression mais je sais que j’ai des responsabilités. Je sais que j’ai des responsabilités, quand on joue au foot, c’est plus pour ça. On a une équipe capable. On va juste continuer de travailler. Quand on travaille, généralement on n’a pas de pression. On n’a pas peur parce qu’on a confiance. », a conclu Kevin Denkey.
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